Le dernier coup de canon des guerres napoléoniennes aurait été tiré dans la cité sarde. Le
28 juin 1815. Une façade de la rue Saint-Joseph No 2 en porte encore le stigmate. Le
projectile, indétectable à l’œil nu, serait toujours logé dans la paroi. Mais l’immeuble
réquisitionné est dans la ligne de mire des garnisons autrichiennes, postées aux environs du
plateau de Champel, plus en hauteur.
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